Sation service - PART II
En regardant les revues, j’offre mon postérieur aux mignons garçons. Il faudrait vraiment être débile pour ne pas savoir qu’ils me regardent. Tiens.. je reprends contenance en me sentant ainsi inspectée…
Je décide donc, tout bonnement, de prendre les revues les plus cochonnes, celles qui sont complètement en bas, sous les journaux. Ce faisant, je ne plie pas les genoux. À quoi bon gaspiller un si beau prétexte.
Me voilà, pliant le dos et relevant le cul, découvrant ainsi ma petite chatte dépoilée. Ah le pouvoir et l’excitation ressentie en sachant que je les captive. Je sens la chaleur de leur regards. Je sens les frissons de chaleur monter des talons doucement comme une caresse sur mes mollets gainés de cuire. Subtilement, le coup de chaleur s’attaque au creux des mes genoux, là où c’est toujours moite et si doux. Les poils sur mes cuisses s’hérissent et je sens ma moiteur. L’intérieur de mes cuisses me pique à cause de cette mouillure. En même temps, mon cul ainsi dénudé se fait embrasser par l’air frais ambiant.
Je me veux provocante. Le tout dure à peine quelques secondes, mais j’ai la chatte qui s’ouvre comme une fleur tellement elle est gonflée. Je commence donc à plier les genoux car j’ai besoin de resserrer un peu mes fesses qui demandent un peu trop d’attention. Je suis affairée à trouver quelque chose à prendre dans mes mains pour oublier la démangeaison quand j’entends la cloche de l’entrée.
Je n’ose pas trop regarder, mais les poils de ma nuque s’hérissent. J’ai chaud. La tension est palpable, l’air pourrait être coupé au couteau. Je les entends, ils rient, ils s’éclatent.
Toujours à croupie près de mes revues salvatrices, je devine leurs allées et venues. Ils se dirigent vers le frigo et prennent de la bière.
Je sens une présence derrière moi. Je sais que c’est lui. Je me sens observée et je décide d’y jouer le tout pour le tout. N’avons-nous pas qu’une seule vie à vivre et ce soir, n’avais-je pas décidée de la vivre pleinement?
Lentement, je me redresse, redressant mon cul en premier, allongeant les jambes, et laissant mon dos s’arquer délicieusement. Faisant ainsi, je suis certaine qu’on voit que ce soir je me sentais assez salope pour ne mettre aucune culotte. Je n’avais pas encore terminé mon petit manège d’agace, qu’une main m’enlace par la taille et plaque ma croupe contre un jeans rugueux. Toujours penchée, mon corps répond systématiquement à cette proximité. Mon cul se presse plus fortement et j’écarte un peu les jambes. J’ai l’impression que tout tourne et je n’entends rien d’autre que mon pouls qui fait battre des pulsations dans le feu de mon sexe. Ce feu monte dans mon ventre et je désire ardemment plus. Les deux mains agrippées au stand à journaux, je cambre un peu plus mon dos de façon à mouiller son jeans de mon suc.
Son autre main remonte le long de ma cuisse et relève plus haut ma mini-jupe. J’ai vraiment le cul à l’air maintenant. « T’es chaude là, hein salope? Tu vas y goûter. Je vais te montrer qu’on ne joue pas aux midinettes sans en payer les conséquences. » Et à se moment là, il m’enfonce 2 doigts du coup pour confirmer ma réceptivité. J’entends un grognement et je me rends compte qu’il vient de moi.
« Hey! Amène-la ici qu’on s’amuse aussi!! » Cette demande vient du comptoir caisse. Les deux autres jeunes hommes sont là et déconnent avec ma copine. Il enlève ses doigts et je me retourne. Je le vois les porter à sa bouche. Il semble apprécier. Cette familiarité m’embrase mais la suite m’effraie. Qu’est-ce que ces vieux ados font ici et ma copine qui a l’air à bien s’acoquiner avec eux. L’homme se presse encore plus contre moi tandis que je regarde la scène qui se déroule à l’autre bout du magasin. Ma copine fait le tour du comptoir et va barrer la porte. Elle me regarde et sourie. Un sourire enjôleur, un sourire prometteur. Y a une tonne de sous-entendus derrière tout ça. Mon cerveau roule à toute allure tandis que je sens un souffle chaud dans mon cou. Sans que je n’y puisse rien, mon corps répond à toutes ses caresses. Il m’écrase littéralement contre le stand à revues. Souffle saccadé par l’excitation et la peur. Le regard rivé à ma copine qui me regarde, confortablement assise SUR le comptoir, les jambes très écartées, offerte. Un des gars est passé derrière et lui prend les bras fermement d’une de ses mains. De l’autre, il passe lentement dans ses cheveux, et lui empoigne, fortement. Ma copine lâcha un cri, suivi d’un rire guttural. Il n’en fallait pas plus pour finir de me terroriser et me réchauffer.
Une vie, une seule et probablement, l’expérience d’une vie. Un moment sordide, érotique et terriblement dépravé. 3 hommes, sur 2 femmes seules et « démunies ». Les deux hommes se tapent ma copine. Elle est sur le comptoir, tout artifices ayant pris le chemin du plancher. L’homme monté sur ses caisses de bières afin d’être à la hauteur du son con l’enfonce de coups de reins très expérimentés pour son âge. Elle gémit tout en se tortillant un peu. Je sens qu’elle panique un peu d’être ainsi matée. Mais j’ai compris qu’elle faisait tout cela pour moi. Elle y prend son pied la petite, je le sens. Je suis un peu abasourdie. Jamais je ne l’aurais crue si libre d’esprit. Je me surprends à mouiller de la voir se faire prendre de la sorte. La bestialité de la scène m’érotise. J’ai moi aussi les poignets bien maintenus dans mon dos pendant que mon « agresseur » me regarde regarder. Son genou bien enfoncé entre mes jambes me procure un support non négligeable. J’ai les jambes en coton et sans même m’en rendre compte, je balance mon bassin. Je réalise que je ne touche même pas par terre et que je colle mon corps sur la ceinture de son jeans. L’homme derrière le comptoir tire ma copine de l’autre côté et je les vois partir vers l’arrière boutique. Il y a là maints bureaux pour s’amuser. J’me sens tout à coup très peu sûre de moi. Je crois que la salope à laisser la place à la gamine affublée d’un costume trop vieux pour son âge. Tu joues dans la cours des grands ma jolie. Maintenant assume. Tu veux faire la boniche? Maintenant, prouve toi.
Je décide de me laisser faire et de vivre le moment. Le gars me plaît de toute manière. Aussi bien en profiter.
Moi qui croyais érotiser ma copine et flirter un peu avec des hommes timides, je me vois prise à mon propre jeu.
Les mains toujours derrière le dos, je décide de pousser sur celles-ci pour mieux me grimper dans l’étalage de revue. Je suis semie assise et j’entrouvre les cuisses. Les yeux de mon monsieur se mettent à sourire voyant bien que le tout me chauffe les organes. Une de ses mains me lâche les poignets et commence à caresser ma cuisse déjà toute humide. Avec deux de ses doigts, il m’enfonce le con et je lâche un cri de surprise. De sa bouche avide il mange mon cou, caressant de son souffle le lobe de mon oreille. Je cambre le dos, offrant une meilleure position à ses doigts qui me ramonent avec force et doigté. Je balance mon bassin, et mes soupires sont plus langoureux.
Il lâche complètement mes poignets et sa main encercle mon cou. Aucune résistance de ma part. Je suis docile et je savoure. Je me sens totalement sous son emprise. J’enlace mes jambes autour de sa taille. Les revues tombent partout. Je veux sa queue tellement. Je n’en peux plus.. j’ai besoin de sa bouche. Je dois goûter. Bien accotée sur le stand, je risque une main dans sa chevelure. Je l’empoigne solidement, lui faisant relever le menton, et je l’embrasse goulûment. Je le dévore comme si je n’avais jamais mangé. Comme si ma vie en dépendait. J’essaie d’être en lui, d’être lui par ce baiser. Mon corps est tellement enflammé que je réagis animalement. Mes dents pincent cette lèvre si douce et chaude, mais son baiser si ferme et assuré. Je mordille tout en glissant ma langue dans cette bouche où je devine milles plaisirs. Mes jambes cherchent à se fusionner. Ma chatte cherche cette queue. Je sens le plaisir monter en moi, alors que je sais qu’il a ajouté un doigt de plus fouillant mon entrejambe...
1 commentaire:
''et ses doigts, il les porte à ta bouche afin que tu goûte à ta docilité sauvage de femme éprise du désir absolue''
j'adore ton écriture et ton petit côté exploratoire chère dame mystic, continue à éveiller mes sens
xxx
Aldan
Publier un commentaire